Il n’est pas question de remplacer un traitement médicamenteux par l’utilisation d’huiles essentielles mais de proposer selon les symptômes, une approche complémentaire.
L’utilisation des huiles essentielles en fin de vie peut être très intéressante pour soulager les maux physiques et psychiques tel que les douleurs, les troubles digestifs, le stress, les insomnies, les tensions…
Elles sont aussi utilisées depuis la nuit des temps dans des rituels funéraires issus de différentes traditions, pour permettre une ouverture spirituelle (exemple avec la myrrhe et l’encens).
Dans les services de soins palliatifs, elles sont surtout appliquer en massage et en olfaction avec un diffuseur, ou directement à partir du flacon.
Pour une utilisation optimale :
– Pensez à demander conseil à un professionnel avant de vous lancer.
– Privilégiez des huiles de qualité, de préférence biologique et en verre fumé.
– Vérifiez la date de péremption du flacon.
– Pour l’utilisation cutanée, la plupart des huiles nécessite d’être diluée avec une huile végétale (amande douce, jojoba, noyau d’abricot…). N’hésitez pas à faire un test sur une petite partie du corps (les poignets par exemple) pour voir si il n’y a pas de réactions au niveau de la peau.
Un exemple d’utilisation des HE avec celle de la camomille noble, connue pour ses vertus calmantes et relaxantes :
En cas d’anxiété, l’HE de camomille peut être diffusée ou inhalée directement au flacon. L’odeur ne plaît pas à tout le monde mais son action est très efficace. Elle peut aussi être diluée avec une huile végétale (1 goutte dans au minimum une goutte d’huile végétale) puis masser sur la plante de pieds ou sur les avant-bras.
N’hésitez pas à me contacter pour une demande de conseils personnalisés !